Le samedi 22 septembre a eu lieu un contre-rassemblement en opposition a celui de Rebeyne.
A Lyon, les identitaires de rebeyne appellent à la violence sans l’air d’y toucher
L’objectif de cette action était d’amener sur le terrain politique et médiatique les incohérences et les contradictions du discours de Rebeyne . Un texte a été distribué au cours de cette action, démontrant les comportements violents , racistes et antisémites de la nébuleuse identitaire et de sa branche lyonnaise (voir tract en p-j).
L’objectif de cette action était d’amener sur le terrain politique et médiatique les incohérences et les contradictions du discours de Rebeyne . Un texte a été distribué au cours de cette action, démontrant les comportements violents , racistes et antisémites de la nébuleuse identitaire et de sa branche lyonnaise (voir tract en p-j).
Deux banderoles ont été produites pour cette action .
La 1re : marche des cochons = kebabs saccagés local magic fans = tags nazis , voitures cassées agressions place du change …
La 2e : rebeyne = racaille identitaire
Quelques animations pyrotechniques avaient été prévues pour l’occasion.
Le groupe s’est donc rendu à l’endroit et à l’heure annoncée par Rebeyne où ses membres et sympathisants devaient venir « protéger » les vitrines commerçantes ainsi que la population des « islamo-racailles ». Le groupe, après avoir croisé quelques nervis attablés sur différentes terrasses, fut fort surpris de ne trouver que deux militants d’extrême droite à l’heure au rendez vous. Le groupe ne manifestera aucune intention belliqueuse à leur égard, malgré quelques provocations . Le groupe déploiera ses banderoles et commencera la diffusion au public des 700 tracts.
Des slogans seront scandés :
« rebeyne : racailles identitaires » « pas de fachos dans nos quartiers, pas de quartiers pour les fachos » « alerta antifascista »
Des prises de paroles seront faites sur les agissements violents de rebeyne ( saccage de vitrine, condamnation du responsable de Rebeyne dans l’affaire de Saint-Étienne.
Les passants se monteront très réceptifs aux informations données pendant cette action et de nombreux retours et encouragements seront exprimés .
L ’action durera entre 10 et 15 minutes jusqu’à l’arrivée des forces de l’ordre annonçant l’interpellation des participants a manifestation interdite .
Quelques minutes après l’arrivée d’une quarantaine de CRS, deux militants d’extrême droite équipés (casques de motos , vestes renforcées) ont tenté une ridicule agression. Ils ont été immédiatement maîtrisés par la police avant que le groupe ait à se défendre (la police était en effet en train de les contrôler au même instant). Attaquer à deux un groupe compact entouré de nombreux policiers semble curieux, et même surprenant. Nous nous demandons encore qu’elles pouvaient être les motivations de ces personnes, hormis le fait d’avoir quelque chose à raconter sur facebook ou à la beuverie du samedi soir à la traboule sans avoir pris trop de risques.
Les forces de l’ordre ont alors procédé à l’arrestation de ces nervis mais aussi à celle d’une quinzaine de personnes , participantes a l’action mais aussi de simples passants s’informant de l’hypocrisie et de la manipulation de Rebeyne.
Les 15 personnes seront placées en rétention administrative, sur les accusations de participation à une manifestation non-autorisée et dissimulation de visage sur la voie publique. Le dernier retenu administratif sera relâché à 21h00 soit 6h00 de rétention administrative . Durant la rétention, le groupe entretiendra en cellule une ambiance politique et festive avec gestuelle (qui ne saute pas n’est pas antifa, chenilles, pogo..), chants révolutionnaires, Internationale, Bandiera Rossa, La rue des bons enfants..., slogans antifascistes, réclamations diverses et variées).
Tout cela au grand dam témoigné par certains fonctionnaires de police fort dérangés dans leurs travail malgré la taille importante du commissariat Marius Berlier .
Les objectifs de l’action ont été remplis malgré le court temps disponible à l’organisation de cette action entre la prise de décision de cette action et sa réalisation :
Occuper en place et heures le terrain annoncé par Rebeyne
Dénoncer l’hypocrisie et la manipulation de Rebeyne
Dénoncer les violences, le racisme et l’antisémitisme de Rebeyne
Empêcher Rebeyne de se rassembler en centre ville pour déverser la violence et la haine.
Le collectif « nous on annonce rien , mais ont est là » tient à remercier :
la couardise de Rebeyne incapable d’assumer en lieu et heure une action pourtant annoncée tambour battant.
les 2 nervis d’extrême droite qui ont prouvé (si cela était encore nécessaire ??) la ridicule fascination pour la violence de Rebeyne (malgré leur discours de victimes et de défenseurs des commerçants lyonnais [sauf les restaurants kebab, les bars à chicha et les bouchons lyonnais qu’ils saccagent])
Le résidant de croix-rousse M. Alain Casulo, photographe de Rebeyne pour les antifascistes
Antifascistes tant qu’il le faudra....
Signé : Collectif « nous on annonce rien mais on est là – Rebeyne : racailles identitaires »
La 1re : marche des cochons = kebabs saccagés local magic fans = tags nazis , voitures cassées agressions place du change …
La 2e : rebeyne = racaille identitaire
Quelques animations pyrotechniques avaient été prévues pour l’occasion.
Le groupe s’est donc rendu à l’endroit et à l’heure annoncée par Rebeyne où ses membres et sympathisants devaient venir « protéger » les vitrines commerçantes ainsi que la population des « islamo-racailles ». Le groupe, après avoir croisé quelques nervis attablés sur différentes terrasses, fut fort surpris de ne trouver que deux militants d’extrême droite à l’heure au rendez vous. Le groupe ne manifestera aucune intention belliqueuse à leur égard, malgré quelques provocations . Le groupe déploiera ses banderoles et commencera la diffusion au public des 700 tracts.
Des slogans seront scandés :
« rebeyne : racailles identitaires » « pas de fachos dans nos quartiers, pas de quartiers pour les fachos » « alerta antifascista »
Des prises de paroles seront faites sur les agissements violents de rebeyne ( saccage de vitrine, condamnation du responsable de Rebeyne dans l’affaire de Saint-Étienne.
Les passants se monteront très réceptifs aux informations données pendant cette action et de nombreux retours et encouragements seront exprimés .
L ’action durera entre 10 et 15 minutes jusqu’à l’arrivée des forces de l’ordre annonçant l’interpellation des participants a manifestation interdite .
Quelques minutes après l’arrivée d’une quarantaine de CRS, deux militants d’extrême droite équipés (casques de motos , vestes renforcées) ont tenté une ridicule agression. Ils ont été immédiatement maîtrisés par la police avant que le groupe ait à se défendre (la police était en effet en train de les contrôler au même instant). Attaquer à deux un groupe compact entouré de nombreux policiers semble curieux, et même surprenant. Nous nous demandons encore qu’elles pouvaient être les motivations de ces personnes, hormis le fait d’avoir quelque chose à raconter sur facebook ou à la beuverie du samedi soir à la traboule sans avoir pris trop de risques.
Les forces de l’ordre ont alors procédé à l’arrestation de ces nervis mais aussi à celle d’une quinzaine de personnes , participantes a l’action mais aussi de simples passants s’informant de l’hypocrisie et de la manipulation de Rebeyne.
Les 15 personnes seront placées en rétention administrative, sur les accusations de participation à une manifestation non-autorisée et dissimulation de visage sur la voie publique. Le dernier retenu administratif sera relâché à 21h00 soit 6h00 de rétention administrative . Durant la rétention, le groupe entretiendra en cellule une ambiance politique et festive avec gestuelle (qui ne saute pas n’est pas antifa, chenilles, pogo..), chants révolutionnaires, Internationale, Bandiera Rossa, La rue des bons enfants..., slogans antifascistes, réclamations diverses et variées).
Tout cela au grand dam témoigné par certains fonctionnaires de police fort dérangés dans leurs travail malgré la taille importante du commissariat Marius Berlier .
Les objectifs de l’action ont été remplis malgré le court temps disponible à l’organisation de cette action entre la prise de décision de cette action et sa réalisation :
Occuper en place et heures le terrain annoncé par Rebeyne
Dénoncer l’hypocrisie et la manipulation de Rebeyne
Dénoncer les violences, le racisme et l’antisémitisme de Rebeyne
Empêcher Rebeyne de se rassembler en centre ville pour déverser la violence et la haine.
Le collectif « nous on annonce rien , mais ont est là » tient à remercier :
la couardise de Rebeyne incapable d’assumer en lieu et heure une action pourtant annoncée tambour battant.
les 2 nervis d’extrême droite qui ont prouvé (si cela était encore nécessaire ??) la ridicule fascination pour la violence de Rebeyne (malgré leur discours de victimes et de défenseurs des commerçants lyonnais [sauf les restaurants kebab, les bars à chicha et les bouchons lyonnais qu’ils saccagent])
Le résidant de croix-rousse M. Alain Casulo, photographe de Rebeyne pour les antifascistes
Antifascistes tant qu’il le faudra....
Signé : Collectif « nous on annonce rien mais on est là – Rebeyne : racailles identitaires »
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