29/10/2012

Campagne : Vivre sans peur

Nous sommes des militants qui luttons contre toute forme de fascisme. Nous combattons, non pas des personnes, mais des idées et les pratiques quotidiennes qui en découlent. Autant de comportements qu’il faut combattre pour que chacune et chacun puisse vivre librement et sans peurs. Notre lutte antifasciste nous mène sur d’autres terrains, là où le fascisme est présent quelle que soit sa forme ou son visage.
Pour se réunir, débattre et agir nous proposons une campagne commune (Vivre Sans Peur) et une date commune de mobilisation dans tout le pays (Samedi 10 Novembre 2012).

La Campagne

Intitulée Vivre Sans Peur, nous proposons une campagne militante antifasciste qui se décline en 6 grands axes de lutte.


COMMUNIQUE DE PRÉSENTATION
Nous sommes des militants qui luttons contre toute forme de fascisme. Nous combattons, non pas des personnes, mais des idées et les pratiques quotidiennes qui en découlent. Autant de comportements qu’il faut combattre pour que chacune et chacun puisse vivre librement et sans peurs. Notre lutte antifasciste nous mène sur d’autres terrains, là où le fascisme est présent quelle que soit sa forme ou son visage.


Les droits des femmes
Pour une réelle émancipation de la femme. Parce que leurs droits ne se limitent pas au droit à l’avortement, mais aussi à l’égalité des salaires: en moyenne 20 % de différence avec les hommes. Sans oublier le harcèlement et les violences domestiques: une femme meurt tous les 3 jours sous les coups de son compagnon en France. Pour que les femmes puissent vivre sans peur, pour qu’elles puissent vivre selon leurs choix.


Les droits des homosexuels/lesbiennes /transexuelles/transexuels
Pour que la stigmatisation de l’orientation sexuelle et le fait qu’on puisse être jugé par sa sexualité et non pas en tant qu’individu à part entière disparaissent. Actuellement les homosexuels ne peuvent pas donner leur sang car ils sont jugés comme population « à risque ». Demandez-vous à votre boulanger ses pratiques sexuelles ? Pour que les homosexuels/lesbiennes/transexuelles/transexuels puissent vivre sans peur, pour que chacune et chacun vive sa sexualité comme il le désire.

Les migrants
Pour que tout être humain ait le droit de circuler et de choisir son lieu de résidence. Nous n’accepterons jamais que des pratiques discriminatoires liées à la couleur de la peau ou à l’origine soient monnaie courante dans le monde du travail et dans la vie quotidienne. Pour une société permettant à chacune et chacun de pouvoir vivre là où il le souhaite, selon une égale répartition des richesses.

Le capitalisme
Contre ce système injuste qui fait profiter une minorité et fait plonger dans la misère les travailleurs. Ce modèle économique en décadence montre aujourd’hui son vrai visage : précarité, chômage et licenciements pour les exploités au profit des banques et autres puissances économiques. Les travailleurs doivent se serrer la ceinture et payer une crise dont ils ne sont pas responsables tandis que les bénéfices des plus grosses entreprises ne cessent pas d’augmenter. Pour nous, il n’y a pas de capitalisme « moral », c’est le système en lui-même qu’il faut contester. Pour une société qui assure à chacune et chacun l’accès à la santé, au logement, à l’éducation…
La société ultra-sécuritaire
Contre la société de contrôle qui utilise la répression policière, le fichage ADN de la population au moindre délit et la vidéo-surveillance pour rassurer l’électeur lambda. D’ailleurs c’est plus pratique pour le business et les banques car cela sert aussi à éviter et à réprimer la rébellion des plus pauvres contre le système. Cette surenchère de technologies pour la surveillance aide à construire un contexte d’insécurité afin de faire en sorte que le citoyen moyen s’habitue à être filmé, contrôlé et fiché en permanence. Pour une société avec davantage d’espaces de liberté, qui respecte nos vies privées et qui ne prenne pas les citoyens pour de potentiels délinquants.

L’extrême droite
Contre une nouvelle extrême droite de plus en plus présente dans la scène politique. Pour que son discours fasciste et démagogique ne puisse pas s’installer durablement dans les classes populaires. Pour que les agressions commises par leurs membres ne restent pas sans riposte. Pour une société sans haine ni racisme.

Au quotidien, nous construisons une société sans peur afin que chacune et chacun puisse vivre librement et en dehors de toute forme de discrimination et d’oppression.


NOTRE PROJET
Pourquoi une campagne antifa et une date de mobilisation commune ?
Nous constatons que très souvent, dans la tête des gens, l’antifascisme est une lutte qui se résume à l’affrontement entre 2 bandes (faf/antifa) et qu’il s’agit d’une lutte désuète car, de toute façon ‘en 2012 il n’y a pas de fascistes et encore moins de fascisme !!!‘.
D’autres fois les outils de lutte antifasciste sont confondus avec ceux de la lutte des classes : beaucoup pensent que détruire le capitalisme détruira « automatiquement » le fascisme.
Quel est le but de cette campagne ?
Nous voulons faire valoir le projet antifasciste en tant que projet d’alternative sociale, culturelle et politique.  Recolorer l’image, redonner du sens et apparaître comme une force de proposition d’une alternative et pas en tant que mouvement de rue qui se limite à réagir quand l’extrême-droite frappe ou essaye de se montrer publiquement.
Avec quoi nous voulons le faire ?
Nous proposons une campagne antifa dans plusieurs villes appelée Vivre Sans Peur et une date de mobilisation le Samedi 10 novembre 2012.
La campagne Vivre Sans Peurs se déroulera dans au moins 10 villes en même temps : Saint-Étienne, Lyon, Limoges, Grenoble, Nancy, Toulouse, Besançon, la Haute-Marne, Paris et Dijon.
L’objectif de cette campagne est de déconstruire les projets de société fascistes, nationalistes, patriotes, autoritaires, sécuritaires, dogmatiques ou racistes, et de faire valoir les valeurs et pratiques antifascistes (solidarité, respect, entraide, auto-organisation, autonomie,…) et ainsi valoriser les projets de société que l’on porte.
Cette campagne thématique comporte du matériel commun, des moyens de communication propres (1 site internet, 1 e-mail) et une date commune de mobilisation (Samedi 10 novembre 2012) avec des repas, des concerts, des rassemblements, des expos, des collages, en fonction de la capacité de chaque ville et des initiatives.
Dans la campagne il y a 6 thèmes en lien avec l’antifascisme avec 6 modèles d’affiches thème et 1 général. On peut librement les diffuser (auprès des gens, sur la toile, dans les lieux, sur les murs ) et/ou les imprimer (flyers, affiches, autocollants,…).

Site : http://vivresanspeur.noblogs.org/

1932 – 2012 La rage au coeur: la lutte continue!

 

Ce communiqué fait suite à l’appel pour un bloc “Sans patrie, sans parti” à la manifestation du 9 novembre 2012 à Genève : 9novembre.noblogs.org
Le Réseau Antifasciste Genevois n’oublie pas!
Il y a 80 ans, le 9 novembre 1932, sur la Plaine de Plainpalais, l’armée a tiré sur les manifestantEs antifascistes venuEs perturber le meeting fasciste de l’Union Nationale. Bilan: 13 morts et des dizaines de blessés. Ce genre d’événement n’étaient pas isolés dans la Suisse du début du siècle passé. Tirer sur les ouvrierEs et les manifestanEs était presque devenu un sport national.
Juillet 1875, Louis Favre réclame au gouvernement d’Uri d’intervenir contre la grève du Gotthard.  La gendarmerie et l’armée sont envoyées sur place pour disperser le piquet de grève. Le 28 juillet, les gendarmes et les soldats tirent sur le ouvrierEs qui sont seulement arméEs de cailloux. Quatre morts, huit grévistes arrêtés, 80 ouvriers licenciés, mise en état de siège.
Octobre 1902, depuis le 28 septembre les tramelots genevois sont en grève pour protester contre des licenciements; la direction refusant de  négocier, la grève devient générale en solidarité. Le Conseil D’Etat (auquel participe le socialiste Thiébaud) appelle l’armée à intervenir. Le 5 octobre, des charges de cavalerie sont lancées contre les manifestantEs sur la Plaine de Plainpalais.
Le 21 janvier 1932, une manifestation antifasciste contre Mussolini est réprimée à Zurich par la police sous les ordres des socialistes. Des dizaines de blessés par balles. 
Le 16 juillet 1932, Zurich, la grève des monteurs est aussi réprimée. Une émeute éclate, un mort, une cinquantaine de blessés et plus de 100 arrestations.
Après toutes ces années nous n’oublions pas, nous ne pardonnons pas!
Aujourd’hui la répression continue, la lutte aussi. La Suisse tue toujours, dans ses prisons, dans ses renvois forcés de migrantEs, de par les balles de ses flics…
La lutte pour la révolution sociale continue, contre le fascisme et le capitalisme, contre ceux qui veulent nous faire marcher au pas et ceux qui nous volent nos vies; mais aussi contre ceux qui prétendent défendre nos intérêts en collaborant avec ce système et en nous éloignant de toute perspective révolutionnaire.
Le pouvoir, qu’il soit de gauche ou de droite, ne tolère pas les mouvements révolutionnaires et l’autonomie du prolétariat. Quiconque endosse une fonction de pouvoir dans un appareil d’Etat doit être considéré comme un ennemi. Les sociaux-démocrates et les réformistes pratiquant des compromis avec la bourgeoisie, sont des sociaux-traîtres et même des social-fascistes, des laquais de la bourgeoisie.
“L’expérience historique nous apprend que tous les compromis conclus entre la révolution et la contre-révolution ne peuvent profiter qu’à cette dernière. Toute politique de compromis est une politique de banqueroute pour le mouvement révolutionnaire. Ce qui avait débuté comme un simple compromis avec la social-démocratie allemande a abouti à Hitler. Ce que Lénine justifiait comme un compromis nécessaire a abouti à Staline.” O. Rühle
POUR UN ANTIFASCISME REVOLUTIONNAIRE ET DE CLASSE!
LA RAGE AU COEUR, LA LUTTE CONTINUE!

RENDEZ-VOUS VENDREDI  9 NOVEMBRE 2012 17H45, ZONE PIETONNE DU MONT-BLANC (GENEVE)

RAGE – Réseau Antifasciste Genève

C'est ça la démocratie que vous voulez ?


13/10/2012

Support your local antifa !


Passion pochoir : fight sexism


Manifestation des Jeunesses Nationalistes à Paris du 29 septembre 2012 : essai non transformé

Annoncée de longue date, la mobilisation autour du samedi 29 septembre devait être l’occasion pour les Jeunesses Nationalistes de monter une manifestation autonome sur Paris sur le thème « Maitres chez nous ! » et en profiter pour lancer officiellement la section Paris-Banlieue des JN. Le résultat est plus que mitigé pour Alexandre Gabriac et ses troupes.

Si les Jeunesses Nationalistes sont actuellement sans conteste le groupe nationaliste le plus actif [1] et en passe numériquement de venir chatouiller les Identitaires et Troisième Voie [2] , ils n’ont pas encore de groupe officiel à Paris. Cette manifestation du 29 septembre était donc l’occasion pour Alexandre Gabriac de lancer la section parisienne annoncée le mois dernier, et qui selon toute vraisemblance devrait en partie s’appuyer sur le GUD Paris, dirigé désormais par Logan Duce, depuis le départ d’Edouard Klein [3] et Baptiste Coquelle [4]. Ce dernier est en effet très proche de Gabriac et des Jeunesses Nationalistes. Il se rend en Italie avec eux, est présent à Lyon où il participe à l’action à la gare Lyon Part-Dieu (action qui verra Benedetti et d’autres se faire interpeller)...

Afin d’appuyer au mieux cette mobilisation et le retour aux affaires de l’Œuvre Française [5] , Yvan Benedetti en avait profité pour organiser une réunion publique de l’OF sur Paris le 28 septembre, chose qui n’était pas arrivée depuis longtemps. Une bonne centaine de personnes viendront écouter, en plus d’A. Gabriac et I. Benedetti, les invités de l’OF : André Gandillon du journal Militant, Jérôme Bourbon de Rivarol et Hervé Ryssen-Lalin. Ce dernier se manifestant de plus en plus au côté de l’Oeuvre Française, puisqu’on le retrouvera le lendemain au côté d’Ivan Benedetti : 
 
Sur la gauche, bras croisés, Hervé Ryssen
En début de semaine tout semblait se dérouler sans aucun problème pour les nationalistes. 24h avant le coup d’envoi de la manifestation, la préfecture de police de Paris prononçait son interdiction. Le travail d’information, effectué par les militants antifas parisiens pendant une semaine sur le lieu de départ de la manif des fafs n’est sans doute pas étranger à la montée en pression autour de cet événement. 
C’était bien évidemment une option envisagée par les Jeunesses Nationalistes, puisqu’ils ont pris l’habitude ces derniers temps de se voir interdire certaines de leurs apparitions publiques. Le plan B était donc enclenché, à savoir une occupation symbolique, comme cela avait été fait à Lyon.
A se demander même si ce n’est pas tout simplement le but recherché ? Si une manifestation à Paris ne réunissant guère plus de 100 personnes a peu de chance de faire l’actualité du week-end dans la presse [6] , en revanche une action avec promesse d’agitation et d’interpellations a toute les chances d’attirer plus d’un journaliste. Cela se vérifiera une fois de plus, puisque presse écrite et radio se feront les commentateurs de cette journée, donnant là une visibilité au JN qu’ils ne méritaient pas.
Quelques heures après une conférence de presse dans les locaux de l’OF à laquelle participe I. Benedetti, A. Gabriac et Pierre Marie Bonneau [7], une grosse trentaine de militants nationalistes, au look très marqué, emmenés par Benedetti, se positionnaient sur le parvis de Notre-Dame pour prendre la parole. L’absence de drapeau, de banderole, de tract et l’improvisation quasi-comique de Benedetti [8], tentant de rameuter les foules, sans succès, laisse clairement penser que l’objectif principal de cette action était de se faire embarquer.
  
A quelques mètres de cette trentaine d’individus, se mêlant à la foule, circulaient plusieurs petits groupes de militants d’extrême droite pour mettre en place un rideau de protection en cas d’attaque des antifas. 
 
petits groupes « discrets » de natios
    
Dans un groupe, comment reconnaitre un faf d’un flic ? c’est simple le second a une oreillette !!
Dans la foule on notera au passage la présence de quelques militants du Renouveau Français (tels que Jean Lecointe ou encore Bruno Archier) venus en renfort, mais peu motivés pour se faire interpeller pour la gloire, et surtout pas pour la gloire de Gabriac et ses JN.
 
  Lecointe et ses troupes de co-sanguins !!
Au passage, un grand merci à Richard Bonacase pour cette photo prise après leur interpellation et illustrant un compte rendu publié sur le site de Jeune Nation :
 
  Le lecteur averti y reconnaitra dans le fond de profil Victor Lenta, l’ancien du Bloc Identitaire de Toulouse, qui vient de monter la section des JN dans cette ville, enterrant du même coup l’expérience identitaire toulousaine. Militaire de carrière au 3me RPIMA de Carcassonne, il aura droit à son petit moment de gloire dans le récent documentaire de Spécial Investigation « Racisme : l’Armée au rapport ». Ainsi que Pierre Marie Bonneau, l’avocat toulousain précédemment cité et qui aura la bonne idée de se faire interpeller avec ses futurs clients. Quand à Richard Bonacase, de Marignane, tout en étant le représentant du Parti de la France en PACA, il est aussi l’organisateur de la réunion le 22 octobre prochain à Marseille en présence d’A. Gabriac et I. Benedetti, annonciatrice d’une nouvelle section JN à Marseille ??

Arrestation de Gabriac : Héros ou zéro ?

Et Gabriac dans tout ça ? Bien que n’étant pas dans le groupe de kamikazes pour les arrestations, il était bien présent dans les alentours de la place de Notre-Dame. Son arrestation place Saint-Michel n’était sans doute pas prévue au programme, le garçon connaissant en ce moment quelques ennuis judiciaires qui ont la fâcheuse tendance à s’accumuler [9]. La présence nombreuse de RG sur place [10] lui aura sans doute été fatale 
 
Gabriac, opposant au système, mais avec une belle carte d’identité de "Membre du Conseil Régional de Rhône-Alpes"
Profitant de l’occasion l’OF et les JN annonçaient que Gabriac avait été hospitalisé suite à des violences policières, on parlera même de coma. Si on ne met pas en doute que la maréchaussée sait se montrer musclée dans ses interventions, on est en droit d’émettre quelques doutes sur la réalité des malaises d’Alexandre Gabriac. Ce dernier est familier d’histoires pour le moins farfelues, la plus fameuse étant l’histoire de l’agression qui l’avait rendu amnésique …

Et dans la sphère nationaliste ?

Peu de relais et de répercussion dans les autres mouvements fafs de l’initiative des JN et de leurs arrestations. C’est très certainement là un des échecs les plus patents pour les JN, ne pas avoir réussi à faire sortir dans la rue d’autres orgas. Il faut dire que l’image sectaire de l’OF de ces dernières années n’est sans doute pas pour rien dans cet isolement. Le seul a avoir réagi, c’est l’ancien chef de Nouvelle Résistance et d’Unité Radicale, dont l’hostilité avec les chefs présents et passés de l’OF est une histoire ancienne mais toujours bien vivace comme en témoigne ce petit message laissé par Christian Bouchet sur son compte officiel facebook : « Quatre gardes à vue et une cinquantaine d’arrestations suite à la manif des benêts... Ceux qui ont approché les organisateurs de cette manif savent que Gabriac et Benedetti sont non seulement des imbéciles mais aussi des provocateurs fort utiles pour les journaleux anti-FN... De plus, ils sont les responsables de "La Flamme" le pire site de délation anti-Marine. Alors qu’ils se retrouvent en taule me réjouit et j’espère qu’en plus les CRS leur auront bien cassé la gueule....  »

[1] Après Perpignan, Toulon, Toulouse, Paris et la Haute-Savoie, c’est à Amiens et Marseille que l’on peut s’attendre à voir apparaître de futures sections
[2] Deux mouvements auxquels ils ont piqué dernièrement des militants et des cadres quand il ne s’agit pas de section
[3] Les mises à l’amende régulière de Klein par les antifas mais également les fafs, cadrant mal avec le rôle de chef du GUD, l’ont finalement poussé vers la sortie.
[4] Parti au FN
[5] Dont les Jeunesses Nationalistes sont l’émanation directe
[6] Voir la manif de juin contre le droit de vote aux étrangers
[7] Avocat toulousain très proche de l’OF. Il est actuellement l’avocat d’A. Gabriac bien sur, mais aussi de l’Agrif dans son procès contre Houria Bouteldja des Indigènes (le parquet ayant fait appel la relaxe de celle-ci une nouvelle audience aura lieu le 12 de ce mois), ou bien encore de Matthieu Clique, ancien responsable du Bloc Identitaire toulousain et incarcéré pour tentative d’homicide sur un étudiant chilien (voir "Matthieu Clique, une chance pour Toulouse ?" et "Un début pour Andrés"
[8] « Non je ne suis pas une merde, je suis un être humain », grand moment de dialectique nationaliste !
[9] Dernier en date : 2 mois de prison fermes pour menaces de mort, décision le 22 octobre
[10] Les RG n’ont visiblement pas oublié que l’œuvre Française dans les années 80, comptait pas mal de policiers dans ses rangs et avait tenté de tuer ou d’enlever Patrick Gaubert, conseiller spécial de Pasqua sur l’extrême droite.

Source : http://reflexes.samizdat.net/

Tattoo black flag


Souvenir souvenir à l'époque du HH HxC

Fresque : contre le capital, résistance, action directe !


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